L’événement « Laissez-moi Kozher » a réuni – le temps d’une journée – de nombreux acteurs, actrices, personnes concernées, citoyen.nes, élu.es, autour du sujet de la Maltraitance en fin de vie à domicile.
Une journée riche en échanges où l’on retiendra la différence entre violence et maltraitance, la sensibilisation à la communication pour toucher la singularité de chaque personne et prévenir les déviances de la bientraitance à la maltraitance.
A retenir de cette journée :
- Des outils proposés.
- Des directives anticipées jusqu’à la connaissance des goûts, envies, besoins, des personnes accompagnées.
- Un moment pour lutter contre la maltraitance, un moment pour se poser des questions sur soi, sur les autres.
Prévenir la maltraitance en fin de vie à domicile
Voilà un enjeu de société pour prendre soin des plus vulnérable et pour prévenir les maltraitances dans le huis clos du domicile. Pour prolonger les réflexions de cette journée d’échanges essentiels, voici les idées-forces à retenir :
- Des aidants épuisés, que l’accompagnement de la fin de vie de leur proche rend aussi vulnérables jusqu’au témoignage d’aidants qui se sentent maltraités par ces situations complexes ;
- Des professionnels également épuisés qui peuvent basculer dans la maltraitance au moment où le « faire », la répétition, les rythmes de travail peuvent faire oublier la personne ;
- Des dispositifs de judiciarisation de la maltraitance inopérants pour les personnes en fin de vie ; penser le « domicile », repenser la prévention, faire émerger les dialogues restauratif pour apaiser tous les acteurs… des pistes se dessinent ;
- Oser le merveilleux, anticiper la fin de vie pour être acteur jusqu’au bout de vie, repenser le CARE…
Merci aux partenaires embarqués dans l’organisation de cette journée, aux côtés de Khoz Ensemble :
- ASKORIA et son Campus des solidarités de Lorient : bravo à notre consultante senior Laurence Hardy, experte des questions du bien vieillir.
- Malakoff Humanis
- Lorient Agglomération
